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Au programme, de la musique japonaise traditionnelle, avec en première partie l'ensemble Tsunagari, qui vous fera découvrir le son du "taiko", ce tambour traditionnel japonais.
Le concert se poursuivra en compagnie du duo Kyoku, formé de Mieko Miyazaki (koto et shamisen) et de Suizan Lagrost (shakuhachi), qui interpréteront quelques pièces issues du répertoire classique japonais.

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Les bénéfices de cet événement seront reversés à l’organisation « Momo-kaki Orphans Fund », qui vient en aide aux orphelins victimes de la catastrophe de Fukushima, en soutenant financièrement les études de ces enfants pour une durée de 10 ans.

 

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TSUNAGARI taiko

Tambours japonais

Le bon son du Taiko et la beauté du geste naissent d’un mouvement naturel, dépouillé de peurs et de volontés, et empreint de liberté et de joie. Un geste bon pour le cœur et l’âme de celui qui joue, et en conséquence un son bon pour le cœur et l’âme de celui qui écoute et regarde.

Le Taiko et plusieurs sorte de danses régionales telles Eisa d’Okinawa,Yosakoi de Kochi, Soran de Hokkaido et Awa de Tokushima ont le potentiel de développer une très forte expérience de vie et de joie collective.

Ces formes artistiques sont à la fois traditionnelles, contemporaines et créatives. Elles sont très souvent pratiquées par des amateurs qui préparent tout au long de l’année de vrais spectacles exigeants.

Chaque été, pendant la période de Bon (la fête des morts), les quartiers et les temples organisent des fêtes.

Les temples sortent leurs énormes Taiko considérés comme de véritables représentations divines, et les gens de tous âges tapent dessus. Le son du taiko résonne dans tout le quartier. C’est là fête !

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KYOKU 極

Musique de chambre japonaise

Unique en Europe, l’ensemble composé par Mieko Miyazaki et Suizan Lagrost vous invite à découvrir la diversité et le raffinement de la musique japonaise. Son répertoire, composé de pièces virtuoses  classiques ou populaires, explore tant la nature que l’âme du Japon grâce à la palette sonore infinie qu’offrent les instruments traditionnels.

Tantôt souffle, tantôt pureté, dense ou légère, profonde ou aérienne, la sonorité du shakuhachi semble ne pas connaître de limites dans sa diversité. Longtemps l’apanage des moines bouddhistes itinérants, cette simple racine de bambou percée de cinq trous séduit aujourd’hui de plus en plus les oreilles occidentales.

Le koto se distingue par sa sonorité allant des graves profonds et boisés aux aigus lumineux. Les modes de jeu traditionnels (frottements, glissandi, tremblements, vibratos appuyés), aux résonances exotiques, invitent au voyage.
Utilisé en accompagnement de la voix, comme instrument soliste ou d’ensemble (notamment dans
le théâtre kabuki), le shamisen, luth japonais à trois cordes, était quant à lui l’instrument de prédilection des geisha.

La naissance de ce projet vient du désir commun de Mieko et Suizan de jouer et de partager avec le public occidental un répertoire rarement présenté en dehors du Japon. Les deux artistes ont en commun une solide formation traditionnelle japonaise, un esprit d’ouverture à d’autres courants musicaux (jazz, musique contemporaine, improvisation...) et une grande expérience de la scène.

Le résultat de cette rencontre est poétique, intense, dépaysant et surprenant à la fois. Un voyage musical dont on ne sort pas seulement charmé mais aussi transformé.

Réservations concert

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